(c) Photo : Airbus – Production de l’A350
Airbus prévoit de produire davantage d’A350
Airbus va produire davantage d’avions A350. C’est ce qu’a révélé Airbus lors d’une conférence de presse sur ses résultats trimestriels. D’ici 2028, Airbus prévoit de livrer 12 nouveaux A350 par mois. Initialement, l’objectif était de livrer 10 nouveaux appareils A350 par mois. La demande pour l’Airbus A350 continue d’augmenter, ce qui oblige Airbus à accroître sa production.
Grosses commandes pour l’A350
Ces derniers mois, Airbus a reçu d’importantes commandes de Delta Airlines, Korean Air, Turkish Airlines, Ethiopian Airlines et IndiGo, entre autres. Aux Pays-Bas, Corendon Airlines utilise actuellement l’Airbus A350. En 2026, KLM mettra également l’Airbus A350 en service. L’Airbus A350 remplace l’Airbus A330 et le Boeing 777.
Hausse des ventes d’Airbus
Lors de la présentation des chiffres trimestriels, il est apparu clairement qu’Airbus bénéficie de l’augmentation de la demande de transport aérien. Le chiffre d’affaires d’Airbus a augmenté de 9 % par rapport à l’année précédente, pour atteindre 12,8 milliards d’euros. Le bénéfice net d’Airbus s’est élevé à 595 millions d’euros au cours du dernier trimestre. C’est 28 % de plus qu’au cours de la même période l’année dernière.
Airbus n’ajustera pas ses prévisions de bénéfices pour cette année en raison du succès du premier trimestre. Il y a trop de facteurs incertains qui pourraient encore perturber le succès de cette année. Airbus prévoit de livrer environ 800 avions commerciaux cette année.
Boeing en perte
Chez son rival Boeing, une perte a été présentée lors de ses résultats trimestriels. Au premier trimestre de cette année, Boeing a enregistré une perte de 333 millions d’euros. Le chiffre d’affaires de Boeing a baissé de plus de 8 % au premier trimestre. Le chiffre d’affaires s’est ainsi élevé à 16,6 milliards de dollars. Ceci est en partie dû aux incidents survenus sur les avions de Boeing. Des améliorations sont également apportées au processus de production, ce qui signifie que la production à grande échelle ne peut pas être réalisée.